La pochette à base d'orgie sanguinolente et le titre de l'album sont équivoques : on sent que les russes de BITCH MEAT sont de gros pervers ahahaha. La progression par rapport au prédécesseur de "Posthumous Erotic Deviance" est d'ailleurs assez évidente, aussi bien musicalement qu'au niveau de la production. Les influences PUNGENT STENCH sont désormais moins flagrantes au profit d'un death grind caverneux assez primaire, mais ô combien jouissif. BITCH MEAT pourrait désormais être une forme de rejeton un peu bâtard entre IMPALED et INCANTATION. C'est bête, c'est primaire et on ne demande rien de plus.
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